Les sectateurs les plus engagés de la théorie des super-cordes soutiennent l’existence des multivers. Il y en aurait 10500, disent-ils, si l’on prend en compte tous les univers correspondant à toutes les variétés possibles de Calabi-Yau, chacun voguant dans des branes parallèles.
En réalité il pourrait y en avoir même bien plus encore, – si l’on tient compte des multivers totalement déconnectés, indétectables, improuvables, pures vues de l’esprit, mais qui sont nécessaires pour garantir la cohérence de la super-symétrie définie par les mathématiques des super-cordes.
En revanche, des physiciens plus conservateurs jugent que la théorie des super-cordes ne relève pas de la science mais de la féerie. La théorie des multivers viendrait du délire de chercheurs si épris de la force abstraite des mathématiques, qu’ils les tiennent pour « réelles », alors qu’elles ne sont que des constructions intellectuelles, et n’ont d’autre réalité que mentale.
Platon croyait déjà que les mathématiques possèdent une forme de réalité, emplie de mystère. Mais il croyait aussi qu’il y avait au-delà des mathématiques d’autres mystères, plus profonds encore. Quant à l’hypothèse d’une infinité de mondes parallèles, allègrement postulée par les physiciens des super-cordes, il l’avait aussi considérée par le moyen de l’approche métaphysique, et l’avait invalidée nettement:
« Afin donc que ce monde-ci, sous le rapport de l’unicité, fût semblable au Vivant absolu, pour ce motif, ce n’est ni deux, ni une infinité de mondes qui ont été faits par l’Auteur, mais c’est à titre unique, seul en son genre, que ce monde est venu à l’être, et que dorénavant il sera. »i
L’alternative est simple : soit il y a un seul univers (que Platon présente comme « semblable au Vivant absolu »), soit il y a un nombre presque infini de multivers… Quelle est l’hypothèse la plus probable ?
S’il y a un nombre presque infini d’univers, ils sont à 99,9999…% (il faut imaginer ici une suite de milliers de 9, après la virgule) absurdement instables, structurellement délétères – à l’exception d’une poignée d’entre eux.
Et parmi cette poignée, infiniment plus rares encore ceux qui seraient capables d’engendrer les conditions de l’apparition de la pensée humaine.
Or la pensée humaine est apparue. Elle devient donc un facteur à prendre en compte du point de vue de la théorie cosmologique. Son existence même, et son extrême rareté à l’échelle des grands nombres de multivers possibles, sont des indices de la nature exceptionnelle (au plan statistique et au plan conceptuel) de l’univers particulier dans lequel elle a pu émerger.
Son existence et sa rareté ont une signification cosmologique. Et cette signification entre inévitablement en interaction avec la définition du cosmos qu’elle s’efforce de concevoir, – à travers l’application du principe d’Ockham et du principe anthropique.
Le principe d’Ockham stipule qu’il est vain de multiplier les êtres sans nécessité. Il est absurde de les multiplier sans signification. Un seul univers possédant sens et cohérence (du point de vue cosmologique) est préférable à une démultiplication d’univers non viables, absurdes et insensés (toujours du point de vue de la cosmologie).
Selon le principe anthropique, le seul fait de l’existence de l’humanité oblige à affirmer que l’univers qui l’a vu naître est « spécial » et même « unique » (encore du point de vue cosmologique). Parmi les myriades de multivers possibles, qui n’ont aucune signification anthropique, le seul fait que l’univers de l’humanité existe implique un hasard cosmologique incommensurable, – si l’on s’en tient à la théorie des multivers.
Cet hasard « incommensurable », on peut s’en faire une idée approximative. Il peut se mesurer à l’aune de l’improbabilité hallucinante de la « constante cosmologique » indispensable pour que la vie et la pensée humaine soient possibles.
Le hasard tel qu’il se déploie sous les contraintes draconiennes de la cosmologie ne peut produire en général que des univers banals. Or cet univers, le nôtre, n’est pas banal : il doit le principe même de son existence à la précision miraculeusement adéquate d’une constante cosmologique infiniment hasardeuse à mettre en œuvre.
Cet univers est unique, parce qu’il est spécial. Pourquoi si spécial? A cause de l’incroyable et déroutante improbabilité des constantes physiques qui régissent sa structure, et qui sont nécessaires à son existence.
Ces constantes invraisemblablement « fines », que la physique détecte et que la mathématique théorise, rendent possibles l’équilibre des forces cosmiques, l’existence des amas galactiques et la vie même.
La constante cosmologique, telle qu’on peut la déduire par l’observation et le calcul, doit être d’une précision ébouriffante : un 0, suivi d’une virgule, puis de 123 zéros, puis d’une longue série de chiffres. La moindre variation dans cette suite de chiffres rendrait l’univers totalement instable, dès les premiers instants du Big Bang, ou alors le rendrait totalement inapte à la vie.
Les multivers sont, en théorie, en nombre presque infini. Mais un tout petit nombre de multivers seulement sont compatibles avec le principe anthropique.
La totale improbabilité des constantes cosmologiques que requiert la vie implique que l’homme n’avait aucune chance d’apparaître dans l’infinité des multivers possiblement concevables.
Or l’humanité existe dans cet univers, et il est même possible de calculer approximativement la probabilité infime de son existence.
Plus cette probabilité est infime, et plus la probabilité de valider la théorie des multivers devient elle-même infime.
Par contrecoup, l’extrême probabilité de la thèse de l’univers unique, proposée par Platon, se renforce d’autant.
i Timée, 31b
DANS L’UNIVERS IL EXISTE 3 TYPES DE VORTEX.
Il existe 3 types de Vortex qui permettent de voyager :
– A l’intérieur de notre Univers Multiple,
– De notre Univers Parallèle vers un autre Univers Parallèle,
– De notre Univers Multiple vers un autre Univers Multiple.
Dans les 3 cas de figure, les Vortex sont similaires, ils possèdent la même technologie car ils assurent les mêmes fonctions. IL y a lieu de rappeler ce que sont les Univers Multiples (1) et les Univers Parallèles (2)
(1) LES UNIVERS MULTIPLES :
THEORIE DE L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI
L’espace temps est un système mathématique d’ordre 4 (espace : 3 dimensions, temps : 1 dimension). On va se limiter à l’espace-temps tel que l’homme le connaît, donc on fait abstraction des mondes dits parallèles, des trous de ver, des trous noirs, des courbures dans l’espace-temps et de tout autre phénomène physique non expliqué jusqu’à aujourd’hui. En commençant par le temps t, il est infini autant vers le passé que vers le futur, il suffit pour cela d’opérer un raisonnement par récurrence. Quant à un espace à 3 dimensions, on distingue l’infiniment petit de l’infiniment grand. Nos connaissances actuelles dans la Science nous font dire que l’Univers tel qu’on le connaît est issu d’un seul big-bang. Et bien non, dans le passé il y a eu une infinité de big bangs suffisamment espacés géographiquement parlant pour éviter toutes interférences entre des galaxies issues de big-bangs différents et dans le futur, il y aura aussi une infinité de big-bangs avec les mêmes caractéristiques que le passé, l’Univers est infini dans tous les sens du terme. Il y a une infinité de galaxie, une infinité d’étoiles, une infinité d’exoplanètes dites telluriques et une infinité de planètes gazeuses. Le nombre de système planétaire est infini. Par récurrence, on démontre qu’il y a de la vie organique et de la vie sous autres formes sur une infinité d’exoplanètes. La distance qui sépare deux planètes telluriques habitées peut être cyclopéenne mais peut-être moindre (planètes habitées proches l’une de l’autre), les vitesses des vaisseaux spatiaux actuels (ORION) nécessitent des centaines de milliers d’années pour atteindre la première exoplanète présumée habitée de la Terre. Les scientifiques vont devoir mettre au point l’hibernation qui nécessitera des dizaines de siécles de recherche scientifique pour espérer aller sur l’exoplanète habitée la plus proche de notre système solaire. D’autre part, il va falloir dans des millénaires voyager à la vitesse de la lumière et d’avantage ce qui est impossible aux vues des équations de la mécanique relativiste d’Einstein. Pourvu qu’Albert Einstein se soit trompé dans ses très complexes équations.
(2) LES UNIVERS PARALLELES :
UNIVERS PARALLELES – DEFINITION
Pour commencer, il y a lieu de redéfinir ce que sont les Univers Multiples et les Univers Parallèles. Les Univers Multiples sont cote à cote, alors que les Univers Parallèles sont superposés. Il y a une infinité d’Univers Multiples et il en est de même pour les Univers Parallèles. Si à chaque Univers Multiple, correspond un ou plusieurs Univers Parallèles, voir une infinité d’Univers Parallèles, nous nous trouvons dans un Espace à 5 dimensions : espace (3 dimensions), indice de l’Univers Parallèle numéroté de 1 à n (1 dimension) et enfin le temps (1 dimension). Comment communiquent les Univers Parallèles entre eux, eh bien il y a des passages, des vortex pour passer d’un Univers Parallèle à un autre, les vortex sont en quantité finie, les Univers Parallèles peuvent être totalement différents les uns des autres et abriter des formes de vies différentes (VIE SOUS AUTRE FORME). Pour les Chercheurs, il faut localiser un ou plusieurs vortex, les étudier et mesurer la matière qui transite d’un Univers Parallèle à un autre (protons, neutrons, électrons, antimatière). Si tel est le cas, les Scientifiques auront démontré la présence de Mondes Parallèles. Ce serait une découverte sans précédent pour l’Astrophysique et l’Astronomie. Ce serait plus facile de voyager si compatibilité d’un Univers Parallèle à un autre (distance courte à parcourir) que de voyager d’un univers Multiple vers un autre (plusieurs millions d’année lumière al). Même au sein de notre Univers Multiple, il est quasiment impossible de rallier la Voie Lactée à une autre galaxie. Suite dans une prochaine rubrique UNIVERS PARALLELES – DEFINITION. Le présent article va être diffusé sur mon Journal Facebook DAVID MOCCHETTI, sur YouTube et Google.
Les feuilletons de la série TV STARGATE illustre à eux seuls ce que sont les Vortex qui permettent de voyager à l’intérieur de notre Univers Multiple ou Parallèle.
Alain Mocchetti
Ingénieur en Construction Mécanique & en Automatismes
Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
UFR Sciences de Metz
alainmocchetti@sfr.fr
alainmocchetti@gmail.com
@AlainMocchetti
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