Depuis longtemps je songe qu’un art-fusion, un art-metaxu, un art méta-formel, serait de ce temps et d’un autre, peut-être à venir.
Il mêlerait l’ancien des symboles, la noirceur des totems, des yeux de bois dur, cette couleur des blés coupés, en une steppe profuse.
Sa beauté ou l’absence d’icelle serait mue.
Mue par quoi?
Par le souffle rauque des paradigmes perdus.

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