Il y a le mystère de la fuite des îles, de la disparition des montagnes et de la chute de grêlons de quatre-vingt livresi.
Il y a le mystère du nom inscrit sur le front de la femme, assise sur une bête écarlate : « Babylone la Grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. »
Il y a le mystère de la femme, de la Bête qui la porte, et des sept collines sur laquelle elle est assise.
Il y a le mystère de la Bête qui est le huitième roi et aussi l’un des sept.ii
Il y a le mystère de la ruine de Babylone en une heure seulementiii.
Il y a le mystère de l’esprit de prophétie.
Il y a le mystère du cavalier, dont le nom est « Fidèle » et « Vrai », dont un nom est inscrit sur lui, qu’il est seul à connaître, dont un nom est le Verbe de Dieu, et dont deux noms sont inscrits sur son manteau et sur sa cuisse : « Roi des rois et Seigneur des seigneurs ».iv
Il y a le mystère de Satan jeté dans l’Abîme pour mille ans, puis relâché pour un peu de temps. Il y a le mystère de la première résurrection qui dure aussi mille années.
Il y a le mystère du jugement des nations, pendant lequel « on ouvrit des livres, puis un autre livre, celui de la vie ».
Il y a le mystère de la « seconde mort », lorsque la Mort et l’Hadès furent jetés dans l’étang de feu.v
Il y a la vision d’un ciel nouveau, d’une terre nouvelle, et d’une Jérusalem nouvelle, « car l’ancien monde s’en est allé ».
Cette nouvelle Jérusalem forme un cube d’or pur, transparent comme du cristal, qui a douze mille stades de côté (soit un cube de quatre mille kilomètres d’arête).viDes arbres de Vie y fructifient une fois par mois, leurs feuilles peuvent guérir les païens. L’homme assoiffé, homme de désir, y reçoit l’eau de la vievii.
Recommandation finale : « Ne tiens pas secrètes les paroles prophétiques de ce livre, car le Temps est proche. »
i Ap. 16,20-21
ii Ap. 17, 5-11
iii Ap. 18, 17
iv Ap. 19, 10-16
v Ap. 20, 3-14
vi Ap. 21, 1-16
vii Ap. 22, 2-17