
Les hasards, depuis peu, volent de leur propre zèle,
Comme ceux des aigles, les regards des passants prennent leurs aises,
Ils découvrent dans le soleil l’ombre de leurs cieux,
Les cils anciens des yeux aveugles, les cierges sages des cryptes cachées,
Tracent dans l’air sourd des aleph, des qaph et des shin,
Et les hommes, tous les hommes, songent en vain
Aux innombrables âmes passées, non-nées, ou à venir.
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